Je pensais qu’informer permettait d’éduquer mais j’ai cruellement déchanté pendant la crise « covid ».
Je me suis d’abord heurté à l’absence de raisonnement de la part de mes interlocuteurs dont les fonctions cognitives semblaient bloquées par les émotions ; la peur de mourir plus précisément.
Aujourd’hui, je me heurte encore au déni (très ponctuellement puisque j’ai décidé d’arrêter mon prosélytisme anti-injections). Un déni d’autant plus terrifiant que même les médias de masse valident avec deux ou trois ans de retard tout ce que les lanceurs d’alerte disaient tout en se faisant traiter de fous/complotistes/conspirationnistes.
Il n’y a plus guère que les fact-checkers payés par le Mémorial de la Shoah de David de Rothschild à continuer le narratif d’il y a 2-3 ans mais, malgré tout, les injectés refusent les faits désormais officiels.