Le problème n°1 de toute action collective est d’avoir une représentation commune de la réalité qui permette de se comprendre, de se coordonner et d’être ainsi disposé à l’action parce que, grâce au consensus (relatif) ainsi constaté, on sait qu’on est pas seul, on se sent en confiance, on a les idées claires, on peut donc se mettre en mouvement.
Le problème n°2 est d’être nombreux.
Le problème n°3 est donc de permettre à toute personne ouverte à la pensée divergente, (et en particulier celle pratiquée par les résistants au vaccin comme au passe sanitaire) de s’informer et, donc, de se former à cette pensée.
Le problème n°4 est donc d’organiser un corpus de connaissance aisément accessible au commun des mortels mais qui ouvre sur toutes les données actuellement disponibles.
Avec un tel support, il deviendrait aisé d’amener l’homme de la rue (comme disent les psys) à comprendre ce qu’il lui arrive et à sortir ainsi de l’état hypnotique dans lequel les gouvernants et Big Media l’ont placé.
Ayant compris les tenants et aboutissants de la situation grâce à cette sorte d’encyclopédie covid de la résistance qu’il aura pu explorer tout à loisir et même au-delà, il pourrait alors plus facilement se mobiliser et rejoindre ladite résistance.
En somme, je crois qu’il est temps que la résistance se dote de ce portail d’information et d’accueil du citoyen. Il s’agirait d’une sorte d’îlot de rationalité au milieu d’un océan d’absurdie criminelle.
La première étape dans sa conception c’est le cahier des charges : de quoi aurait besoin dans un premier temps, puis par la suite, le public non informé, conscient de son égarement relatif et disposé à écouter ce que la résistance a à lui dire ?
Bref, la page est blanche : que devrait-on mettre dessus ?