Je voudrais sans le nommer parler d’un ami qui lance un mouvement d’action contre la plandémie.
Il veut informer et surtout conscientiser le bon peuple réunionnais.
D’une manière courageuse et honnête, il envisage de discuter du « contexte » créole / zoreille qui peut poser problème.
C’est vrai que tout action collective nécessite une unité de même que toute dissension est susceptible de défaire l’unité et d’anéantir la force du mouvement.
Parler des choses qui fâchent est donc nécessaire pour s’accorder et retrouver la nécessaire unité.
Toutefois, en temps de guerre (et nous sommes en guerre, c’est la seule chose de vraie qu’ait dite Macron depuis deux ans) l’unité se fait toute seule contre l’ennemi commun.
En 40-45, les communistes et la droite gaulliste étaient unis dans la résistance contre l’envahisseur allemand.
La question créole / zoreille devrait-elle pour autant être mise en veilleuse ? Je ne le crois pas dès lors qu’elle est traitée avec l’ensemble des autres formes de tensions qui existent déjà (ou qui seraient susceptibles d’apparaître) dans l’île de la Réunion.
La raison que je vois à cela est le fait hautement probable qu’en cas de victoire contre la machination du SARS-Cov2 fait de main d’homme (Fort Detrick, Wuhan ?) l’élite qui en est à l’origine passera au plan B : la guerre, civile ou mondiale.
Vous le savez bien, des forces sont à l’oeuvre dans le monde pour amener un choc des civilisations et des guerres civiles qui ne se limiteraient pas au Moyen-Orient.
Comment la Réunion résisterait-elle à une guerre civile ou mondiale opposant des musulmans et des chrétiens ?
Le seul moyen que la contagion de la violence ne gagne pas l’île serait d’avoir préalablement conçu un accord interconfessionnel et intercommunautaire qui garantisse qu’en cas de faillite de l’Etat, les réunionnais restent rassemblés et fassent peuple, c’est-à-dire, cultivent une fraternité réunionnaise au-delà de toutes les différences et de tous les différends
Seul cela pourrait, je crois, permettre de sentir en confiance, solidaires et en paix quoi qu’il arrive.
Bref, je crois que cet ami a raison, il est dans notre intérêt de rechercher au plus vite un accord de tous pour faire peuple en somme, ce qui veut dire qu’il va falloir se comprendre au point de pouvoir raconter une histoire qui mette tout le monde d’accord, même si parfois, la place de certains dans cette histoire ne sera pas confortable.
Peu importe, l’important est d’arriver à une authentique unité. Et permettez moi de croire que ce n’est pas la laïcité qui permettra ça.
L’Etat laïque et ses sociétés secrètes est une faillite. Il faut rebattre les cartes.
Alors, tant que c’est encore possible, débattons !
Vous avez la parole…